La mort de la nature, Les femmes, l'écologie et la révolution scientifique
EAN13
9782381140032
ISBN
978-2-38114-003-2
Éditeur
Wildproject
Date de publication
Collection
DOMAINE SAUVAGE
Nombre de pages
448
Dimensions
22 x 14 x 3,5 cm
Poids
612 g
Langue
français
Langue d'origine
anglais
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La mort de la nature

Les femmes, l'écologie et la révolution scientifique

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Postface de

Wildproject

Domaine Sauvage

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Un grand classique de l’écoféminisme – un livre fondateur des humanités écologiques
Entre le 16e et le 17e siècle, l’image d’une Terre organique, féminine, et vivante fait place à une nouvelle vision du monde dans laquelle la nature est reconceptualisée comme une machine morte et passive, autorisant ainsi sa spoliation sans limite aux mains de l’homme.
Dans La Mort de la nature, Carolyn Merchant montre que ce changement de paradigme aurait justifié non seulement la domination de la Terre, mais aussi la création d’un système socio- économique dans lequel les femmes, depuis toujours associées à l’image de la Nature, seront subjuguées aux hommes.
Ce livre, qui est un des premiers à explorer la Révolution Scientifique du point de vue du féminisme et de l’écologie, traite des changements économiques, culturels et scientifiques à l’origine du monde moderne et de la crise écologique qui menace sa survie.
« Après la Révolution scientifique, Natura ne se plaignait plus que ses lambeaux de modestie étaient déchirés par les assauts injustifiés de l’homme. D’une enseignante et d’une parente actives, la Terre était devenue un corps soumis et décervelé. [...] Le nouvel ordre mécanique allait exiger la mort de la nature. »
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