Alex-Mot-à-Mots

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Alex L., lectrice compulsive, presque anonyme.
Ayant une préférence pour les bons polars, mais aimant aussi les autres genres (sauf la SF, pitié....)

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19 août 2017

abandon

De l’auteure, j’avais adoré Il faut qu’on parle de Kevin. Je me faisais une joie de la retrouver. Certes, c’est un pavé, mais le récit met vraiment du temps avant de commencer.

Et puis les explications sur le crack boursier que subit les États-Unis sont trop longues, trop détaillées et ont fini par me lasser.

Même en ne lisant pas ces passages, le roman ne démarre jamais vraiment.

Conseillé par
19 août 2017

abandon

Le sujet était intéressant : un plan presse people avec une jeune actrice et un visiteur mystérieux, un paparazzi en embuscade. Mais le shooting tourne au cauchemar….. et ma lecture aussi.

Je n’ai pas aimé le style écriture orale hachée qui a été rédhibitoire pour moi.

Tant pis.

Conseillé par
31 juillet 2017

thriller

Je n’avais pas aimé (du tout) le précédent roman de l’auteur, Les âmes troubles, qui m’était tombé des mains : un style trop sec qui m’avait lassé.

Mon billet avait piqué Olivier Taveau sans que je n’en sache rien. Son dernier roman sorti, il me contacte et me propose de lire ce dernier. Comme je laisse toujours d’autres chances aux auteurs, j’accepte. Bien m’en a pris : j’ai passé un excellent moment de lecture par une belle après-midi d’été.

Ca commence comme un polar avec disparitions suspectes d’un groupe d’adolescents, une enquêtrice qui fait du surf pour se vider la tête, un étrange personnage nommé Virgile.

Un jour, l’un des ados refait surface dans un drôle d’état, et le récit prend une tournure paranormale qui ne m’a pas déplue (ni trop, ni trop peu).

J’ai aimé l’enquêtrice Heddy et sa supérieure qui ne s’en laisse pas compter ; j’ai aimé Virgile, personnage étrange qui apparait bien à propos ; j’ai aimé le gros balèze Owca qui tombe sous le charme d’Heddy.

Le style est fluide (oserais-je dire enfin lisible pour moi), haché quand il le faut, mais pas trop.

Merci, M. Taveau, j’ai beaucoup aimé votre dernier roman. Vous pouvez m’envoyer quand vous voulez le suivant, qui j’espère, aura les mêmes personnages principaux.

L’image que je retiendrai : L’auteur ne dit jamais dans quelle région se situe l’action de son roman, mais des montages et des plages de surf, cela m’a emmené au Pays Basque, bien sûr.

http://alexmotamots.fr/depuis-labime-olivier-taveau/

Thomas Fecchio

Ravet-Anceau

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31 juillet 2017

policier

Jean Boyer le clame haut et fort : il est innocent du meurtre dont on l’accuse. Oui mais lui qui vient de sortir de prison a toutes les preuves contre lui. Seul le capitaine Germain, dit Chérubin, croit en son innocence.

L’idée de départ est intéressante, et le récit plutôt bien mené. Mais, à partir de la seconde moitié, il souffre de longueurs. Certes, Boyer n’a que les articles de presse pour se tenir au courant des avancées de l’enquête, mais pour nous lecteur, c’est un peu répétitif à lire.

Et puis j’ai été dérangée de suivre les pensées d’un meurtrier pervers de si près. Mais je suis une petite nature.

J’ai en revanche aimé que le coupable final ne soit pas complètement puni : c’est comme ça dans la vraie vie.

Et la fin du roman laisse présager d’une suite.

L’image que je retiendrai : celles des méthodes du capitaine Germain, peu conventionnelles quand il s’agit de faire craquer un témoin.

http://alexmotamots.fr/je-suis-innocent-thomas-fecchio/

Conseillé par
31 juillet 2017

policier

Le personnage principal de ce polar est un petit Gaulois qui vit de petites combines illégales. Bien sûr, il se fait prendre et a pour compagnon de cellule un gros malfrat respecté.

Une fois sorti, François, notre héros, vit dans une caravane avec une femme peu avenante, mais qui va lui servir pour le gros coup qu’il prépare.

Mais le plus intéressant, c’est qu’un gendarme l’interroge à propos de disparitions étranges de femmes âgées qu’il a côtoyées peu avant leur mort. Là, le récit a commencé à devenir intéressant pour moi. Comment François allait-il s’en sortir ?

J’ai bien aimé la seconde moitié du roman, à partir de l’intervention de l’enquêteur. Avant, je trouvais que le récit se traînait un peu. C’est à partir de là que l’on comprend pourquoi les coccinelles sculptées dans des noyaux de cerise ont leur importance.

J’ai aimé les astuces de François et son final grandiose.

L’image que je retiendrai : celle de la mère de François, enceinte mais dans le coma. Aurait-il absolument fallu la maintenir en vie pour sauver son fils ?

http://alexmotamots.fr/des-coccinelles-dans-des-noyaux-de-cerise-nan-aurousseau/